Secrétariat Académique

Secrétariat Académique :
Karine Perraud - Hervé Guichard
(06 85 12 12 57) cgteduc-nantes@orange.fr
Dates à retenir :
Prochain Bureau : Mardi 6 décembre 2016
Prochaine Commission Exécutive : Mardi 22 novembre 2016
Sortie du "Repères" n°106 : janvier 2017

vendredi 30 janvier 2015

DEMANDE DE RÉVISION DE NOTE : LETTRE MODÈLE


M.,Mme ,Mlle ,............................................
Titulaire,Stagiaire, Auxiliaire ,Contractuel (e) ,
Spécialité
Etablissement d'exercice,
Adresse personnelle
Tél Personnel
Date............


Monsieur le Recteur de l'Académie de NANTES
S/C de Monsieur le DASEN
S/C de monsieur le Proviseur, Principal,


Objet: requête en révision de la note administrative 201 - 201 .


Monsieur le Recteur,

J'ai l'honneur de porter à votre connaissance que je dépose une requête en révision de ma note administrative de ...../ 40 au ..... échelon.

Je conteste les appréciations adverbiales suivantes :
Ponctualité et assiduité .........................( arguments )
Activité et efficacité .........................( arguments )
Autorité et rayonnement .......................( arguments )

Je conteste l'appréciation générale ......................................................... ( arguments ) .................................................................................................................................
Je vous prie également à l'occasion de cette requête, de bien vouloir informer la Commission Paritaire Académique, conformément aux textes en vigueur.

Veuillez agréer Monsieur le Recteur, l'assurance de mes salutations respectueuses.


Signature

P . S . Lettre transmise par voie hiérarchique et par voie directe.

Marche à suivre :
1 ) Une lettre donnée à votre secrétariat d'établissement ou secrétaire départemental
2 ) Une lettre transmise par la poste au recteur
3 ) Une copie pour la CGT Educ’action adressée à :

CGT Educ’action Nantes

Maison des Syndicats
1 Place Gare de l'Etat
Case postale n°1
44276 Nantes Cedex
Coordinateur CAPA : Hervé GUILLONNEAU
herve.guillonneau@wanadoo.fr

06 77 88 23 28

mardi 27 janvier 2015

GREVE LE 26 JANVIER 2015 AU LP LUDOVIC MENARD A TRELAZE POUR LE MAINTIEN EN EDUCATION PRIORITAIRE

Nous avons  appris presque par hasard, par la voie syndicale, que le notre LP (Lycée Professionnel) qui était précédemment classé "établissement sensible" ne le serait plus dès la rentrée de septembre 2015. Nous étions une trentaine en grève sur 50 professeurs  le lundi 26 janvier 2015
Les " zones urbaines sensibles" sont les quartiers des villes où se trouvent des populations en difficultés économiques, et devant faire l'objet d'actions de lutte contre les inégalités sociales dans le cadre de ce qu'on appelle la "politique de la ville". L'un des volets de ces actions est de donner aux établissements scolaires des moyens spécifiques permettant d'accompagner de manière plus individualisée les élèves, avec des mesures  contribuant à la stabilisation d’une équipe volontaire et expérimentée, pour lutter contre les difficultés scolaires qui sont souvent la conséquence des difficultés sociales des familles.
Nous  venons de découvrir qu'un décret paru le 30 décembre 2014  a redéfini ces zones, et que notre lycée ne fait plus partie de la nouvelle zone, dont la surface a été diminuée de moitié et découpée rue par rue, en éjectant  le lycée à l'extérieur de la zone. Il est juste à la limite du quartier « Le Grand Bellevue », mais il n’est plus dedans : la nouvelle zone sensible s’arrête au mur arrière du lycée !!!

            La carte a changé mais pas la réalité : le lycée professionnel de Trélazé accueille toujours 52% d’élèves boursiers et beaucoup d’élèves issus de familles dites "de catégories socio-professionnelles défavorisées" ou "sans activité".
Le gouvernement fait des tas de discours sur l'éducation prioritaire : « La politique d’éducation prioritaire a pour objectif de corriger l’impact des inégalités sociales et économiques sur la réussite scolaire par un renforcement de l’action pédagogique et éducative». Il se vante aussi de vouloir renforcer à l'école  "l'éducation à la citoyenneté" pour apprendre aux jeunes à "vivre ensemble".  Si l'éducation prioritaire concerne les populations en difficultés sociales, il est clair qu'elle concerne donc des populations où il y a une diversité de communautés culturelles où les actions éducatives favorisant le "vivre ensemble" sont effectivement une nécessité.
Mais dans le même temps,  le gouvernement diminue le nombre d'établissements scolaires pouvant bénéficier des moyens supplémentaires de l'éducation prioritaire. Il n'y a évidemment pas que le lycée professionnel de Trélazé. Dans le Maine et Loire,  il a déjà été annoncé que sur 61 écoles qui étaient en éducation prioritaire, 31 écoles en sortent contre seulement 9 qui y entrent. 3 collèges en sortent, contre un qui y entre.  Ils étaient d'ailleurs eux aussi en grève jeudi 15 janvier. Et il en est de même partout dans le pays.
Les grévistes demandent que les actes se joignent à la parole, et que l'éducation dite "prioritaire" se renforce réellement, au lieu de se réduire !
 Après cette journée de grève, nous attendons de savoir quelles réponses nous serons données. Une nouvelle assemble générale le 2 février décidera des suites éventuelles de notre mobilisation.

                                                                                                                                   CGT Educ'Action 49


jeudi 22 janvier 2015

PREMIER DEGRÉ

Consultez le "Petit Cahier" n°32 spécial 1er degré  en cliquant ICI :
sommaire :
- Editorial p1
- Communiqué après les attentats p 2
- Elections professionnelles p 3
- Carte scolaire p 5
- AESH p 7
- M@gistère p 8

dimanche 18 janvier 2015

L'INTERSYNDICALE DE L'ENSEIGNEMENT PROFESSIONNEL CONDAMNE LE DÉVELOPPEMENT DE L'APPRENTISSAGE

L’intersyndicale regroupant le SNETAA-FO, CGT, SNUEP-FSU, SNCL-FAEN, SPEIN, SIES, s’est réunie le
vendredi 19 décembre pour analyser ensemble les politiques mises en œuvre dans le champ de
l’enseignement professionnel public.
Enfermé dans une politique d’austérité, pour masquer le manque d’investissement et une réelle
valorisation de l’enseignement professionnel, le ministère s’entête à vouloir développer
l’apprentissage alors qu’il n’est ni la solution au chômage des jeunes, ni une voie de formation
dispensant une formation permettant des poursuites d’étude et une insertion durable dans l’emploi.
La volonté du ministère de développer l’apprentissage dans les LP, LPO et SEP fait peser de graves
menaces sur l’enseignement professionnel public. Le mixage des parcours et des publics, qui sert
notamment l’objectif de diminution des moyens alloués à l’enseignement professionnel et la soustraitance
des plateaux techniques des EPLE, dégradent encore les conditions de travail des PLP et les
conditions d’études des lycéen-nes professionnel-les. Aujourd’hui, La ministre envisage de modifier
le statut des PLP qui serait un « frein » au développement de l’apprentissage. Pour nous, cette
éventualité est inacceptable et nous nous opposerons à de telles modifications.
Dans le cadre de la préparation de la rentrée 2015, au moment où le ministère met en place un droit
de retour en formation professionnelle initiale pour les jeunes décrocheurs, aucun moyen
supplémentaire n’est alloué aux LP, SEP, EREA et SEGPA pour prendre en charge ces jeunes et pour
améliorer les conditions de travail des PLP fortement dégradées ces dernières années. Pire, Il est à
craindre que pour financer certaines mesures mises en place à la rentrée 2015, les lycées
professionnels et ses enseignant-es en seront écartés : éducation prioritaire, pondération,… les
moyens en seront ponctionnés sur l’enseignement professionnel public qui sert de variable
d’ajustement.
Nos organisations condamnent le développement de l’apprentissage et demandent solennellement à
la ministre de l’Education Nationale de changer sa politique à l’égard des lycées professionnels publics.
Le gouvernement doit mesurer l’enjeu que représente l’Enseignement Professionnel Initial, Public et
Laïque comme voie de la réussite des jeunes, contre les sorties sans qualification.
Nos organisations syndicales donnent rendez-vous aux PLP dès la rentrée de janvier 2015 pour
construire ensemble les mobilisations nécessaires et riposter à cette politique.

jeudi 15 janvier 2015

MOBILISÉS CONTRE LA HAINE ET POUR LA TRANSFORMATION SOCIALE

Dans les premières heures et jours qui ont suivi les attentats perpétrés en France les 7, 8 et 9 janvier 2015, la CGT Éduc'action a fait siennes les déclarations de la CGT, dénonçant ces actes inqualifiables et appelant à participer à toutes les initiatives de soutien.
Aujourd'hui, elle tient à dénoncer avec force tous les actes de haine et de racisme qui se manifestent et se développent. 
Elle s'insurge contre les récupérations politiques observées ces derniers jours, allant des manœuvres des partis politiques dits "de gouvernement" ou des propos abjectes du FN. Profiter de ces atrocités pour prospérer est un jeu très dangereux auquel nous nous opposons. 

Dans ce contexte, les personnels de l'Éducation nationale se retrouvent en première ligne et peu, voire pas du tout, soutenus par leur hiérarchie. Il flotte comme un air d'improvisation dans les interventions et initiatives de l'Éducation nationale ces derniers jours. 
Le cirque médiatique organisé lundi 12 janvier 2015 au ministère de l'Éducation nationale n'a donné lieu à aucune proposition concrète : la Ministre (mais aussi les Recteur-e-s) en étant réduite à demander, aux représentant-e-s des personnels, des parents d'élèves et des lycéen-ne-s, des idées et propositions d’action. 
Évidemment, nous n'attendions pas des solutions simplistes et précipitées, mais nous espérions au moins une direction politique claire, qui dise que l'École n'est pas responsable, qui rappelle que l'émancipation et la mixité sociale sont indispensables pour tendre vers une société plus démocratique. L'unanimisme tant déclamé ne doit pas faire oublier que ce gouvernement, et ceux qui l'ont précédé, mènent une politique antisociale qui n'est pas totalement étrangère à l'état de désespérance sociale où se trouve une grande partie de la population aujourd'hui. 
Nous n'oublions pas davantage que les établissements les plus en difficultés étaient en grève en décembre 2014 contre une réforme de l'Éducation Prioritaire qui prive de moyens pour travailler à la réussite et à la cohésion sociale. Cette réforme est donc une occasion ratée de s’attaquer au décrochage social et sociétal, pourtant prioritaire dans certains territoires. Dommage.


La CGT Éduc'action sera de toutes les luttes contre la haine et pour la transformation sociale et sera disponible pour toute initiative allant dans ce sens. 
                                    communiqué de presse de l'UNSEN-CGT
                                                                            le 15 janvier 2015

mercredi 7 janvier 2015

ATTENTAT CONTRE CHARLIE HEBDO

La CGT horrifiée par l’attentat meurtrier à Charlie-Hebdo. 
Après l’odieux attentat ayant fait plus d’une dizaine de morts et plusieurs blessés au siège de l’hebdomadaire Charlie-Hebdo, ce mercredi matin, la direction confédérale de la CGT, son journal La Nouvelle Vie Ouvrière, et le SNJ-CGT, horrifiés, tiennent à assurer l’ensemble des journalistes et des personnels du journal, ainsi que tous leurs proches, de leur totale solidarité.
Profondément choquée par cet acte odieux, attristée et en colère, la CGT rappelle et salue le courage de ces hommes et ces femmes qui chaque jour, chaque semaine, malgré les intimidations et les menaces, défendent la liberté de pensée et la liberté d’expression dans notre pays.
Elle souhaite que les assassins soient au plus vite arrêtés et jugés, et que toute la lumière soit faite sur leurs motivations, ainsi que sur les conditions ayant permis que le siège de l’hebdomadaire ait pu être ainsi attaqué.
 La CGT appelle à des rassemblements, ce mercredi 7 janvier, 

Nantes 18h place Royale
Angers 18h place du Ralliement
Le Mans 18h place de la République

Laval 19h place de la mairie

samedi 3 janvier 2015

MOBILISATION DÈS JANVIER POUR UNE RENTRÉE RÉUSSIE EN SEPTEMBRE

L’Éducation nationale a été déclarée secteur prioritaire par le gouvernement. 
La réalité du terrain est tout autre : les créations d’emplois annoncées compensent à peine la hausse démographique, elles ne permettront pas de rétablir les suppressions d’emplois qui ont eu lieu de 2007/2012. A la rentrée 2015, le taux d'encadrement défini par le coefficient national P/E sera inférieur à celui de 2011 !...
Au moment où la ministre faisait ses annonces, les personnels étaient mobilisés pour défendre l’Éducation prioritaire. La nouvelle carte annoncée est un jeu de chaises musicales où, sans réelle transparence, un certain nombre d’établissements sortent de l’Éducation prioritaire et d'autres y entrent. Ces transferts se feront au mépris des élèves et des personnels qui perdront ainsi des moyens dont ils ont grandement besoin. La situation des lycées généraux, technologiques et professionnels reste floue. La ministre devrait faire des annonces sur ce point au début de l'année 2015. 
Aucun établissement ne doit sortir de l'Éducation prioritaire. 
Nous continuerons, dans l’unité, à construire les mobilisations car l’Éducation est la priorité de la CGT Éduc'action. 
LISEZ LE 6 PAGES SUR LA RÉPARTITION DES MOYENS POUR LA RENTRÉE 2015
Cliquez ICI
Sommaire : 
p.2 : Emplois d’enseignant-e-s 
p. 3 : Emplois de personnels administratifs, de CPE et d’AESH 
p.4 : Emplois d’infirmier-e-s, de médecins et d’assistant-e-s de service social 
p. 5 : L’Éducation prioritaire 
p. 6 : La CGT Éduc’action revendique
Dans l’Éducation nationale, déclarée secteur prioritaire par le gouvernement, il n’y a pas eu de miracle depuis 2012. Face à la hausse démographique, le gouvernement se contente de maintenir le taux d’encadrement.
Pire encore : le coefficient P/E national en 2014 est inférieur à celui de 2011. Voilà pourquoi les enseignants n'ont pas vu grand-chose changer dans leur quotidien depuis 2012...